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Un manque d'études, de ressources ? Un frein à l'action ?

Sans doute que l'absence actuelle d'un plan émanant de l'exécutif provient du manque de ressources liées au phénomène de l'adoption internationale.

Constatons que les témoignages se multiplient, pas forcément sous des formats académiques et universitaires. Et, tant mieux ? 

La démarche empiriste implique de se confronter à la réalité sociale, aux faits et donc, à ce qu'écrivent les divers acteurs de l'adoption. 

La dispersion des témoignages sous les divers flux d'informations témoigne en partie une absence de coordination, si ce n'est un manque d'écoute et de vigilance à la manifestation d'un phénomène largement mis sous le tapis depuis de nombreuses années. 

Les livres, la documentation, les ouvrages, des études existent. Pour autant, permettent-ils aux principaux concernés d'améliorer leurs choix décisionnels ? 

L'abstraction et la théorisation des données intéressera les universitaires, moins les bénéficiaires (ou victimes) du système adoptif. 

Ainsi donc, le bon sens commenderait d'aller directement se confronter à la parole de ce qu'on l'on pourrait qualifier d'invisibilisés, face à une machine administrative quelque peu désarmée, prise de court et en manque de repères. 

17/03/2024

L'absence de souveraineté des personnes adoptées